D'après les récits sur les expériences de Thomas Edison avec le "nécrophone" ou "appareil nécrophonique", il est intéressant de noter que ses travaux sur cet appareil sont souvent entremêlés de faits et de légendes. 
Parmi les premiers essais, Edison et son équipe ont utilisé un appareil appelé "spirit receiver". Ce dispositif était censé détecter la présence d'esprits ou de manifestations surnaturelles. Une des expériences notables impliquait une ampoule Edison. Voici comment ces essais se déroulaient :
Edison avait conçu le "spirit receiver" pour capter des signaux ou des vibrations que les esprits pourraient produire. Le fonctionnement exact de cet appareil reste flou, mais l'idée était qu'il soit sensible aux changements imperceptibles pour l'oreille humaine ou les instruments standards de l'époque. L’appareil était connecté à une ampoule électrique, une invention emblématique de Thomas Edison. L'expérience consistait à observer l'ampoule pour voir si elle s'allumait en réponse à une activité spirituelle ou des messages provenant de l'au-delà.
Lors de l'un de ces essais, Edison et ses collègues auraient installé le spirit receiver dans une pièce sombre, propice aux manifestations spirituelles. L’ampoule était surveillée attentivement. À un moment donné, l'ampoule aurait commencé à s'illuminer faiblement, suggérant que le spirit receiver avait capté une sorte de signal ou de présence spirituelle.
Cette expérience aurait donné un espoir à Edison que son projet de nécrophone puisse effectivement permettre la communication avec les morts. Cependant, comme beaucoup d'autres histoires liées à la recherche paranormale, les détails et les résultats de ces essais sont souvent contestés et entourés de mystère.
Edison, connu pour son pragmatisme et son approche scientifique, n'a jamais publié de preuves concluantes sur l'efficacité de ses appareils nécrophoniques. Le projet du nécrophone demeure donc une curiosité historique, un mélange de science, de spiritualité et de fascination pour l'inconnu.
 
JACK THE RIPPER
 
L’histoire de Catherine Eddowes, l’une des victimes les plus célèbres de Jack l'Éventreur, est tragique et mystérieuse, et elle a donné naissance à de nombreuses légendes et récits paranormaux.
 
Catherine Eddowes et Jack l’Éventreur
 
Catherine Eddowes est l'une des cinq victimes dites « canoniques » de Jack l’Éventreur, le célèbre tueur en série qui a semé la terreur dans les rues de Whitechapel, à Londres, en 1888. Elle a été assassinée dans la nuit du 29 au 30 septembre 1888, dans Mitre Square. Son meurtre a été particulièrement violent, avec des mutilations effroyables qui ont choqué la société victorienne. Les enquêtes n'ont jamais permis de découvrir l'identité du tueur, et son cas est resté l'un des mystères les plus fascinants de l'histoire criminelle.
 
L'Appareil d'Edison et le Spiritisme
 
La Légende du Cercle Spirite et de Catherine Eddowes
 
Ce groupe spirite , composé de médiums et de fervents croyants du spiritisme, aurait utilisé un appareil électrique, alimenté par une ampoule, pour entrer en communication avec les esprits.
 
Selon le récit, l’ampoule s’allumait uniquement lorsque l’esprit de Catherine Eddowes était présent. Les médiums auraient interprété ce signal comme une preuve tangible que son âme tentait d’entrer en contact avec eux. À travers l'appareil, des messages seraient parvenus, dictés par l'esprit de Catherine, révélant des détails sur son meurtre ou sur sa vie, créant une communication régulière avec l'au-delà. Ces séances avec l'appareil auraient renforcé l’idée que Catherine cherchait toujours à partager son histoire et à résoudre le mystère de son meurtrier.
 
Dans certaines variantes de cette légende, l’esprit de Catherine serait apparu régulièrement, les ampoules s’illuminant de manière plus vive lorsqu'elle tentait de transmettre des messages plus urgents ou personnels, notamment des détails sur les circonstances de sa mort. L'appareil, utilisé lors de ces séances, aurait ainsi servi de « portail » entre le monde des vivants et celui des morts, créant une sorte de connexion constante entre ce cercle spirite et Catherine.